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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 07:48

"Les Dits l'artiste"

Cher internaute

Comme vous le savez, toute vie sur cette extraordinaire planète à sa transformation inéluctable, (de par son existence limitée,) et avant que mon horloge interne s'arrête, je désire partager, faire connaître mes expériences a vous, mes semblables.

Certaines constatations où interrogations se sont fait jour lors de mes expériences, je les ai codifiées sous la dénomination : "Les Dits l'artiste"

vous les retrouverez regroupés aux dernières pages du blog

Bonne lecture à vous.

"Les Dits de l'artiste Meldred "
"Les Dits de l'artiste Meldred "

"Les Dits de l'artiste Meldred "

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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 16:02

Chiffons de nettoyage des couteaux et des pinceaux de Meldred certifies sans apport supplémentaire de peinture, ni de retouche quelconque. Du pur hasard en action. Les chiffons une fois secs sont lavés est mis à séchés à plat puis sont marouflés sur toile. Actuellement 8 toiles de disponibles 4 de dimensions : 46 x 38 cm et 4 de dimension : 40 x 30 cm.

Chiffons de nettoyage des couteaux et des pinceaux de Meldred certifié sans apport supplémentaire
Chiffons de nettoyage des couteaux et des pinceaux de Meldred certifié sans apport supplémentaire
Chiffons de nettoyage des couteaux et des pinceaux de Meldred certifié sans apport supplémentaire

Chiffons de nettoyage des couteaux et des pinceaux de Meldred certifié sans apport supplémentaire

GAÏA ! Notre provenance

Vision picturale d'une cohésion cosmique.

A suivre… sur le blog : http://www.morvan-meldred.over-blog.com

Courriel : ulvumior@gmail.com

Une petite branche supplémentaire sur l'arbre de l'Art contemporain.
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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 12:50

Après une trentaine d’années d’étude du Yi King,

c’est imposé à moi lors d’une de mes séances de yoga

un autre système

pour produire les hexagrammes du Yi King.

Après l’avoir fabriqué et expérimenté de longues années avec succès,

je décide de mettre ce nouveau système de tirage du Yi King

à la portée de mes contemporains

pour la plus grande satisfaction

d’une conscience rationnelle

Ce n’est pas un chinois, mais bien un Occidental qui vient d’ouvrir une porte de plus à

cette somme de sagesse humaine.

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20 juillet 2014 7 20 /07 /juillet /2014 13:27
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King

Le coffret à tirage du YI KING par Meldred* Morvan

Actuellement 90 coffrets , sous ce design sont disponibles.,

numérotés et signés par l’artiste ,au prix hautement symbolique de 50 euros port compris. L’artiste certifie qu’il n’y aura pas d’autre coffret sous ce design.

Pour vous le procurer, Il suffit d’envoyer un chèque*de 50 euros au nom de Morvan Jean François. 33 rue de l’hospice. Prades. 66500

Si votre adresse est toujours d’actualité sur votre chèque ,pas de problème

sinon indiquez la nouvelle adresse de réception .

*Vous avez compris que Meldred est le pseudo de l’artiste.

* Désolé, actuellement pas d’autre possibilité de règlement autre que le chèque.

Après tous ses renseignements,

je vous laisse apprécier la facilité d’exécution

du Coffret à tirage du Yi King de Meldred.

Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
Manuel du coffret à tirage des hexagramme du Yi King
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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 11:57
Peinture à l'huile sur toile 80 x 80 cm
Peinture à l'huile sur toile 80 x 80 cm

Peinture à l'huile sur toile 80 x 80 cm

Ballade à l'intérieur de la lumière mystique
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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 05:09

 

L’illumination à la lumière d’un occidental

Une histoire vécue et ses conclusions.

 

Tirée par les cheveux, en ce siècle « d’ ismes » mais qui pourraient être vrai.

 

Une spirituelle approche de notre présence en cet univers, un peu différente des dogmes que nous connaissons.

 

En tout premier lieu, il nous faut admettre que de Rien, il ne peut Rien venir.>

Si vous niez cette évidence, il ne vous faut pas lire la suite, vous perdriez votre temps.

Le dilemme réside dans le fait que nous existons avec tous nos possibles actuels et à venir, nous ne sommes donc pas rien.

Pour essayer d’y voir plus clair sur notre présence sur cette extraordinaire planète, on va procéder par éliminer quelques théories scabreuses qui nous empoisonnent l’existence et de découvrir quelques nouveaux faits vérifiés, qui nous permettent de réfléchir au plus prés de la réalité de ce que nous sommes en nous même.

-Prenons en premier lieu la théorie de Charles Darwin en regardant ses principales failles.

 

La Complexité irréductible

Elle s’applique à tout système ou organe qui ne saurait remplir sa fonction en l’absence de l’une de ses composantes. Ainsi en est-il de l’œil qui ne saurait remplir son rôle avec une cornée opaque, de l’aile qui ne pourrait permettre le vol avec des plumes trop courtes, ou encore des briques élémentaires des organismes vivants que constitue la cellule. L’absence de l’une de ses très nombreuses organelles, ou un simple dérèglement de la complexe harmonie rend tout bonnement impossible sa survie, encore moins sa multiplication. La cellule ne peut attendre que le hasard des mutations, tel que celui présidant à la sélection naturelle, lui permettre de se développer. Dans l’hypothèse évolutionniste, elle s’avère totalement formée et fonctionnelle dés son apparition sur Terre. C‘est évidemment le cas pour des systèmes mille fois plus complexes comme l’œil, l’aile,le rein, etc. Pour W.H. Thorpe, professeur en zoologie à l(université de Cambrige, « la cellule la plus élémentaire constitue un " mécanisme " plus complexe que n’importe quelle machine imaginée à ce jour, sans parler de celles conçues par l’homme ». Puisque la sélection naturelle est déterminée par le hasard des mutations, elle est dénuée de conscience et de volonté, et incapable d’anticiper une telle succession de transformations. Ce casse-tête n’avait pas échappé à Darwin : « Si la démonstration pouvait être faite que l’organe complexe existe sans avoir été formé par de nombreuses petites modifications successives, ma théorie ne tiendrait plus. » Et encore au sujet de l’œil, dont la complexité est extraordinaire : « Les yeux, aujourd’hui, me donnent des sueurs froides » et : De supposer que l’œil, avec toutes ses capacités d’adaptation inimitables pour ajuster le foyer sur différentes distances, pour admettre différentes quantités de lumière et pour la correction de l’aberration sphérique et chromatique, pourrait avoir été créé par sélection naturelle, semble, je j’admets librement, absurde au plus haut degré. » Un insecte illustre au mieux la question de complexité irréductible et a fait couler beaucoup d’encre : le scarabée bombardier. La probabilité qu’une simple protéine puisse naître du hasard de la rencontre de ses constituants et de leur agencement est de 1 sur 10 950 !

(Scarabée Brachinus), étudié en 1961 par le professeur Schildkrecht (chimiste allemand) qui est équipé de deux glandes sécrétant 10 % d’hydrogène et 23 % de peroxyde d’hydrogène, de deux chambres de stockage communicantes, de deux chambres de combustion et de deux conduits pouvant être dirigés comme des canons à l’arrière. L’ensemble du procédé permet au scarabée de produire une explosion dirigée contre ses prédateurs. Sa complexité empêche de le concevoir comme le résultat d’un processus évolutif graduel ; seul l’apparition du système totalement abouti est envisageable raisonnablement. Les exemples de complexité irréductible dans la nature ne sont pas des exceptions mais bien la règle, n’en déplaise aux tenants de l’évolutionnisme.

Les probabilités de l’évolution

Une autre question est évidemment cruciale pour la théorie de l’évolutionnisme : celle de l’apparition de la première cellule vivante sur Terre. Rappelons simplement ici que ces premières formes de vie, bactérie capable de résister à des conditions extrêmes, sont appelées procaryotes et existent depuis 4 milliards d’années. Problème : elles sont apparues complètes et représentent une biochimie moléculaire et protéinique très complexe. On peut illustrer la gageure qu’une telle complexité ait pu apparaître à partir de constituants minéraux par l’allégorie de la probabilité qu’une rafale de vent passant sur une décharge de ferraille aboutisse à l’assemblage parfait d’un Boeing 747, ou qu’un tas de briques jetées en l’air composerait une maison finie en retombant. Les mathématiciens qui ont voulu calculer la probabilité pour qu’une simple protéine puisse naître du hasard de la rencontre de ses constituants que sont les acides aminés, et de leur agencement dans le bon ordre, ont conclu à un résultat de 1 chance sur 10950 (un 1 suivi de neuf cent cinquante zéros) que l’on peut évidemment évaluer comme nulle. Développée à la probabilité d’une succession d’heureux hasards menant à la formation d’organes tel que l’œil, le rein, l’oreille…on parvient à 1 chance sur 105400 ! Même celui qui gagnerait au loto un million de fois de suite se trouve loin du compte. Au final, la parabole de l’horloger illustre bien l’attitude adoptée par les évolutionniste : un homme qui découvre une horloge en se promenant sur une plage, et qui déduit qu’il s’agit du résultat d’une série d’événements naturels comme le vent, la pluie, le soleil, le gel, l’accouplement d’une huître avec une paire de ciseaux, plutôt que de considérer la possibilité de l’existence d’un ou plusieurs horlogers qui l’auraient conçue.

Les véritables enjeux de l’évolution darwinienne

On peut se poser clairement la question des raisons qui fonde un tel obscurantisme chez ceux qui se réclament pourtant de la méthode scientifique. S’agit-il d’une impossibilité carriériste pour les chercheurs de remettre en cause un dogme aussi largement partagé et puissamment établi, ou d’une volonté idéologique de s’opposer à tout prix à ce qui met mal l’adulation du dieu « hasard » ? Clairement en jeu : la crainte de faire le jeu des fondamentalistes du créationnisme, dans l’ignorance de théories alternatives comme celles d’interventions exo planétaires. Malheureusement, la théorie de l’évolution fut un élément déterminant de formatage subtil des consciences dont se saisirent les idéologies des deux siècles passés.

En justifiant la domination raciale, le recours à la guerre, la loi du plus fort, la théorie de l’évolution séduit toutes les idéologies totalitaires.

L’idéologie de karl Marx, parce que tenante de l’athéisme, se saisit avec enthousiasme de l’évolutionnisme pour y voir son fondement scientifique matérialiste. Marx souhaita même dédier son livre fondateur, le Capital, à Darwin qui refusa. Le nazisme s’en réclama ouvertement, trouvant dans le principe de « survie » des plus aptes un justificatif à son idéologie de domination raciste (petit rappel, le sous titre de l’origine des espèces était- la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie).Mussolini trouva quant à lui une formidable justification de son mépris affiché pour la paix, qu’il décrivait comme une décadence défavorable à l’évolution. La guerre représentant pour l’humanité, par opposition, l’ascenseur le plus efficace vers un stade supérieur. Peu de doutes à avoir sur l’intérêt considérable représenté par l’évolution aux yeux d’une mondialisation néo-libérale assurément organisée au service du plus fort.

Une conclusion ?

Nous sommes obligés de constater aujourd’hui  que l’évolution repose avant tout sur des illusions entretenues par la rhétorique et une certaine dialectique, toutes deux soutenues par des représentations graphiques trompeuses des plus sophistiquées, voire absconses pour certaines. Il semble toutefois qu’après cent cinquante ans d’affirmations gratuites du « fait » de l’évolution, l’endoctrinement éducatif et médiatique ne suffise plus à réprimer les doutes des jeunes chercheurs, ce qui donne espoir. Pour conclure, peut-être par pure insolence vis-à-vis des autorités scientifique et de l’inquisition darwinienne, j’emprunterai cette citation à un homme d’église qui à ma connaissance, n’a jamais prétendu avoir la moindre compétence en science : « la complexité indique précisément que, pour rendre compte de la richesse du réel, il est nécessaire de recourir à une pluralité de modèles ».

David Dennery©2006 (Docteur ès bon sens de l’université de la vie)

 

 

On constatera, que de la théorie de l’évolution, on aurait plutôt affaire à une théorie de l’adaptabilité des espèces, ce qui réduit considérablement sa porté dans nos réflexions.

  • une réflexion sur la loi du plus fort. Prenons un sportif quelconque, il est le champion du monde, très bien, mais pour combien de temps ? Jusqu’à ce qu’un autre lui ravit son titre, ainsi de suite. Pour compléter la loi du plus fort, il faut faire intervenir l’intelligence dans ce schéma. Je suis chétif mais intelligent et découvreur, j’invente l’arme à feu, et le plus fort succombe sous ma tutelle et passe à mon service. Ainsi s’écroule la loi du plus fort en tant que telle, et apparaît l’adaptabilité de l’être dans un contexte donné.
  • Et c’est là ou nous en sommes en 2014, trop de contextes différents, trop de cultures différentes, trop de croyances différentes, pour arriver à une juste réflexion sur notre présence dans cet univers commun, et qui nous empêche d’admettre notre origine commune. Mais qu’importe, continuons à découvrir quelles surprises de taille émergent sur notre belle planète.

 

 

  • Nos chers scientifiques se sont amusés à calculer quel pourcentage notre ADN occupait dans notre corps.

Combien y-a-t-il de bactéries qui logent tranquillement chez nous ? Eh bien on estime qu’il y en a de l’ordre de 100 000 milliards ! Un si gros chiffre ne vous parle peut-être pas, alors sachez pour comparaison que votre corps est composé d’environ 10 000 milliards de cellules, soit 10 fois moins.

Oui, vous lisez bien : il y a dans votre corps 10 fois plus de bactéries que de cellules de votre propre organisme. Une autre manière de le dire : puisque chaque bactérie est elle-même une unique cellule, notre corps est fait à 90% de cellules qui ne nous appartiennent pas ! Flippant, non ?

Qui sommes-nous vraiment ?

Le chiffre a de quoi surprendre. Il s’explique par le fait que les bactéries sont en général beaucoup plus petites que les cellules de notre propre organisme. Il y en a donc une quantité énorme dans un volume restreint; enfin sachez quand même que nous portons en moyenne 1 à 2 kilos de bactéries, pour la plupart localisées dans notre colon. Il semblerait d’ailleurs que le colon humain soit l’un des écosystèmes les plus denses que l’on connaisse.

Pour continuer à se faire peur, on peut même pousser le bouchon encore plus loin : puisque ces 100 000 milliards de bactéries proviennent de 500 espèces différentes, chaque espèce apporte son propre lot de gènes. Il a ainsi été calculé que si on compte en nombre de gènes, seul 1 gène sur 100 présents dans notre organisme provient de notre propre ADN, les 99% restants viennent de l’ADN des différentes espèces de bactéries qui nous habitent.

A l’heure où l’on essaye d’expliquer une grande partie de notre identité par des facteurs génétiques, savoir que 99% des gènes de notre corps ne sont pas les nôtres a de quoi nous faire réfléchir sur cette notion d’identité pleine et entière.

 

 

Etonnant n’est-ce pas !

Se dire que nous soyons à l’intérieur d’un corps qui ne nous appartient pas tout à fait a de quoi faire frémir les théories purgatoirismes de tout bord. Finalement est-ce les 99% qui dirigent où est-ce mon 1% la question reste posée. On s’aperçoit que le rapport de force n’est pas trop équitable. Laissons cette énigme posée, on essaiera de la résoudre par la suite -si ce faire se peut- continuons avec le Baculum

 

 

 

L’énigme du Baculum et du raphé périnéal

Dans la Genèse, il est dit que "l'Eternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l'homme, qui s'endormit ; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L'Eternel Dieu forma une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme." C'est ainsi que la Bible décrit la création d'Eve, à partir d'une côte d'Adam. Mais ce mythe explicatif n'a pas eu l'heur de plaire à Scott Gilbert, professeur de biologie au Swarthmore College, une université américaine située en Pennsylvanie. Cet enseignant-chercheur a en effet trouvé étrange de choisir un os dépourvu de toute symbolique pour un acte aussi important que la création de la femme sous anesthésie générale. De plus, souligne Scott Gilbert, un tel mythe devrait servir à expliquer une différence dans le nombre d'os entre l'homme et la femme, ce qui n'est pas le cas. D'où l'hypothèse formulée en 2001 dans une correspondance publiée par l'American Journal of Medical Genetics >(AJMG) et désormais passée à la postérité de la science improbable : et si, suite à une erreur de traduction, on avait fait prendre à Dieu le mauvais os ?

Scott Gilbert s'est donc adjoint les services de Ziony Zevit. Ce spécialiste de littérature biblique et des langages sémitiques à l'American Jewish University de Los Angeles lui a expliqué que le mot hébreu utilisé dans la description de l'opération divine signifiait effectivement "la côte", "le côté" ou "le flanc" (d'un humain ou d'une montagne), mais qu'il pouvait aussi prendre le sens de "planche", de "poutre", d'"étai" ou de "colonne", bref décrire un élément de structure, de support, de soutien. C'est exactement ce qu'espérait Scott Gilbert car il avait sa petite idée sur l'os que Dieu pouvait avoir soustrait à l'homme, et qui lui manque toujours aujourd'hui.

Cela s'appelle le baculum, mot latin qui, si j'en crois mon vieux Gaffiot, signifie "bâton" ou "sceptre". De nombreux mammifères mâles en sont pourvus et notamment nos plus proches cousins, les chimpanzés et les gorilles. Il s'agit d'un os qui, lors de la copulation, est inséré dans le pénis, ce qui est pratique pour obtenir une érection rapide sans attendre que tout le système hydraulique sur lequel la reproduction humaine repose intégralement se mette en branle. Certains collectionneurs en sont friands et, pour 65 dollars, vous pouvez vous porter acquéreur d'un baculum de morse de 60 cm (on laisse aux acheteurs le loisir d'imaginer l'usage qu'ils en feront). En 2007, un os pénien provenant d'une espèce de morse éteinte il y a plusieurs millénaires, s'est vendu 8 000 dollars aux enchères. Il faut préciser que la relique mesurait 1,40 mètre.

Hormis quelques rares cas pathologiques d'ossification pénienne, l'homme a quant à lui égaré cet ustensile quelque part au cours de son évolution et cette absence n'a pas pu passer inaperçue auprès des peuples de l'Antiquité qui vivaient dans la proximité des animaux. Pour Scott Gilbert et Ziony Zevit, la création d'Eve pourrait très bien être un mythe explicatif de cette disparition mystérieuse. En effet, l'hébreu utilisé dans la Bible ne dispose d'"aucun terme technique pour désigner le pénis et s'y réfère par le biais de nombreuses circonlocutions". Du coup, on peut très bien se dire que la "colonne" ou la "poutre" – apparente ou non – d'Adam est autre chose qu'une simple côte... De plus, selon les auteurs de cette correspondance à l'AJMG, engendrer un autre être à partir d'un os situé dans l'organe reproducteur est symboliquement plus fort que choisir un os quelconque que l'on trouve par (deux) douzaines dans le corps humain.

Enfin, Scott Gilbert a, non sans humour, gardé pour la fin un dernier et subtil argument anatomique. Le texte de la Genèse, en disant que Dieu "referma la chair" au terme de son prélèvement chirurgical, sous-entend une cicatrice, voire une suture. Or, on a beau regarder sur le tronc humain, la seule cicatrice existante est le nombril (dont Adam et Eve, n'en déplaise à l'auteur de la mosaïque ci-dessus, devaient en toute logique être dépourvus) et il n'est pas vraiment situé au niveau des côtes. En revanche, il y a bien une magnifique suture tout le long de l'organe reproducteur mâle, le raphé périnéal, ligne qui parcourt tout le dessous du pénis, le scrotum et le périnée... Si l'hypothèse de Gilbert et Zevit est la bonne, on comprend encore mieux pourquoi Dieu a endormi Adam avant de l'opérer et le mythe d'Eve fait d'une pierre deux coups, en expliquant à la fois l'absence de baculum et la présence de cette suture (qui est en réalité un souvenir du moment où, pendant l'embryogenèse, replis et bourrelets de la zone se soudent pour donner les organes génitaux masculins).

"Jusqu'à quarante ans, j'ai cru que c'estoit un os", disait Henri IV en parlant de la partie virile de son anatomie. Puis, le Vert Galant a dû déchanter en expérimentant quelques pannes. D'os, il n'y avait point. A qui la faute ? De là à soupçonner une collusion entre Dieu et les marchands de Viagra, il y a un pas que je ne franchirai pas. Je laisse cela aux journalistes d'investigation.

Pierre Barthélémy (@PasseurSciences sur Twitter)

 

 

 

À tout cela, je dirai que c’est bien Adam qui a une couture, le Raphé périnéal. La femme n’en a pas –sauf exception- elle est sans couture, elle est parfaite. — quoi qu’en dit Wikipedia qui a mon avis n’a jamais vu une femme nue en levrette —. C’est bien Adam qui à une pièce rapportée… le pénis. C’est donc bien une greffe sur Adam et non pas la création d’une Ève à partir d’Adam à laquelle il conviendrait de réfléchir lors de cette intervention de "Dieu" sur Adam.

 

Si on en suit l’anatomie, Adam avec son Raphé périnéal arrive donc en deuxième position sur la planète. La Genèse inverse le processus et crée le Père tout puissant, le mâle en premier ! nous dit-elle. Quelque part, ça sent la tromperie.

 

Nous savons que la parthénogenèse existe dans la nature pour certaines espèces que pour les femelles, elles peuvent se reproduire sans spermatozoïdes. L’homme n’a pas cette faculté-là. On voit déjà une limite du mâle. Sans femelle il s’éteint, encore une fois, on entrevoit la limite. Sans hommes les femelles subsistent tout de même. On peut se poser la question sur le genre d’un démiurge dans cette histoire-là, dans cette portion d’univers.

 

J’opterai pour un démiurge femelle qui dans son univers*, dans son éternité là, dans ce contexte historique, traficote une autre femelle qui devient l’Adam que nous connaissons.

 

Allons y pour une réflexion de science fiction.

Évidemment, cette arrivée en deuxième position ne plait pas trop aux mâles d’alors, non sans raison, puisqu’ils en étaient réduits aux plaisirs de femelles en pleine possession de leurs moyens.

Les mâles d’alors se révoltèrent et optèrent pour un démiurge mâle. Pas question d’être utilisés, que comme bêtes à plaisir. Désormais, on fera en sorte que ce soit la femme qui soit soumise à l’homme, à l’homme maître de ce jeu. Le reste vous le connaissez et je vous laisse le soin des conclusions qu’il y à lieu d’en tirer.

 

*>nous ne savons pas s’il y a d’autres univers, mais pourquoi pas, cela n’aurait aucune incidence à notre réflexion.

 

-Une parenthèse concernant des intervenants extra- terrestres dans cette l’histoire, cela n’a aucune incidence sur le résultat de nos réflexions, eux aussi, (comme on le verra plus loin), sont reliés également à la lumière.

 

 

Mais continuons les surprises…

 

 

Le Big Bang

L‘univers ne commence pas avec le Big bang !

Entretien avec Etienne Klein

 

 

Flammarion réédite l'ouvrage d'Etienne Klein "Discours sur l'origine de l'univers" publié en 2010. Nous avons décidé d'interroger ce spécialiste des questions de la physique du temps et de la matière. Parce que si il n'y a pas de début au monde,

il n'y a peut-être pas non plus de fin du monde…

 

l’Univers dans le passé : photo du satellite Planck, première lumière de l'univers, 380 000 ans après ce qui est appelé le "Big Bang"

Etienne Klein est à la fois un philosophe des sciences et un physicien, spécialiste de la matière et du temps. Il a participé à la conception du LHC, le "collisionneur" de particules, qui a permis de vérifier l'existence du Boson de Higgs, cette fameuse particule qui doit, grâce à sa découverte, révolutionner la physique quantique et par la même, la compréhension de l'univers. Dans ce passionnant ouvrage de vulgarisation scientifique, "Discours sur l'origine de l'univers", Etienne Klein amène de nombreuses réflexions basées sur les théories scientifiques qui remettent en cause notre connaissance collective de l'origine de l'univers : particulièrement celle du "Big Bang". Il faut lire cet ouvrage si l'on veut mieux comprendre ce que la science actuelle remet en question dans notre compréhension de l'univers et de son origine. La "fin du monde" qu'Hollywood charrie dans les esprits n'en est peut-être pas à sa première fois. Comme le principe du "reboot" de la matrice, du film Matrix, l'univers pourrait-il se "relancer" à l'infini ? Le Big Bang serait-il uniquement la collision de deux univers ? Entretien avec l'un des esprits scientifiques les plus doués de sa génération, capable de nous faire comprendre…l'incompréhensible.

 

 

Etienne Klein: "Aujourd'hui, on sait que le Big Bang n'est pas l'origine explosive qui aurait créé tout ce qui existe"

 

Dans votre ouvrage, vous exprimez que l'univers n'a jamais été ponctuel,

c'est-à-dire que sa taille n'a jamais été nulle

ni sa densité infinie : ce qu'on appelle le Big Bang n'est donc pas le commencement,

il n'y a pas de point zéro de l'univers, en fin de compte ?

 

Propos recueillis par Pascal Hérard

Etienne Klein : Notre façon de parler du Big Bang aujourd'hui prolonge notre façon d'en parler des années 50. A l'époque on a inventé ce mot pour décrire l'histoire de l'univers à partir d'une théorie physique, celle d'Einstein, qui s'appelle la théorie de la relativité générale. Cette théorie décrit une force qui s'appelle la gravitation. Quand vous extrapolez à partir de cette théorie pour aller dans le passé, vous observez qu'en effet, l'univers dans le passé était plus dense, plus chaud et plus petit. Et quand vous extrapolez vraiment très très loin dans le passé, vous aboutissez à ce que l'on appelle une singularité initiale. C'est une situation dans laquelle la taille de l'univers observable est nulle, il est donc ponctuel : sa densité est infinie, sa température est infinie. On a assimilé cette singularité à l'origine de l'univers. Mon point est tout à fait simple : cette extrapolation jusqu'à la singularité était abusive. Pour une raison très simple qui est que la théorie d'Einstein ne décrit que la gravitation. Et dans l'univers il y a d'autres forces fondamentales. La force électromagnétique et deux forces nucléaires. Ces forces ne sont pas décrites dans les équations d'Einstein…

Qu'est-ce qu'il se passe si on ne prend pas en compte ces forces et que l'on extrapole vers le passé de l'univers ? Etienne Klein : Quand vous extrapolez sans prendre en compte ces forces, vous arrivez à des calculs mathématiquement justes pour décrire cette singularité initiale, mais ils sont physiquement faux, puisqu'ils ne correspondent pas aux conditions qu'ont éprouvé les particules qui étaient dans l'univers à cette époque là. Ces calculs basés sur la relativité générale deviennent physiquement faux à un moment, et c'est ce qu'on appelle le mur de Plank. Donc, par honnête intellectuelle, on doit dire qu'on est capable de décrire l'univers depuis le mur de Planck jusqu'à aujourd'hui, et que cette histoire a duré 13,7 milliards d'années. Le point important est que depuis 40 ans on tente de construire des théories physiques qui essayent de décrire les quatre forces. Pour essayer d'aller en deçà du mur de Planck, pour mieux comprendre l'univers primordial et peut-être même découvrir son origine. Il y a plein de pistes possibles pour unifier ces forces dans un seul formalisme, mais à ce jour, quelle que soit la piste qu'on utilise pour essayer d'"escalader" le mur de Planck et aller au delà, et bien on arrive à la conclusion que la singularité initiale disparaît. C'est-à-dire que le Big Bang n'est plus l'origine explosive qui aurait créé tout ce qui existe, l'espace, le temps, la matière, l'énergie, mais il devient une sorte de transition de phase qui fait passer d'une situation antérieure à une situation postérieure qui correspondrait à notre univers. On n'a donc plus le droit de parler d'origine. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'origine, cela veut dire que l'origine est constamment déplacée, jamais saisie, et que la question de savoir si il y en a vraiment eu une, se pose.

Il n'y a pas de théorie unificatrice qui permette de décrire ce qu'il y a avant ce moment de transition de l'univers, c'est ça qui pose problème ? Etienne Klein : Mais il y en a peut être une. La théorie des cordes par exemple, c'est peut être la bonne, mais on n'a pas pu la vérifier expérimentalement. Imaginons que ce soit la théorie qui unifie les quatre interactions : c'est une théorie qui implique, qui prédit qu'il n'y a pas de température infinie dans l'univers. Autrement dit, en tout point de l'espace et en tout instant du temps, la température dans l'univers ne peut pas excéder une certaine valeur qui est finie. En disant cela, la singularité initiale dont nous parlions tout à l'heure disparaît, n'a plus de sens physique. Quand on fait de la cosmologie qui essaie de franchir le mur de Planck, on le fait avec des hypothèses très très différentes mais dans tous les cas ça ne part jamais de zéro. Parler de l'origine de l'univers c'est parler de quelque chose qui était déjà là. Si c'est quelque chose qui était déjà là, c'est bien qu'on ne parle pas de l'origine de l'univers, mais d'une étape de son histoire.

Y aurait-il une forme d'illusion qui nous cacherait la réalité de l'univers ? On comprend que ces particules dans le vide quantique existent sans exister, c'est un peu de l'ordre de la magie… Etienne Klein : Le vide quantique existe. Il n'existe pas un peu, il existe vraiment. Par contre ce qui est au bord de l'existence dans le vide quantique ce sont les particules. Elles ne sont pas sans masse, mais elles n'ont pas assez d'énergie pour exister vraiment. Pour qu'une particule existe vraiment, il faut que son énergie soit égale à mc2, où m est sa masse (et c2 la vitesse de la lumière dans le vide, NDLR). Si l'univers est trop froid comme c'est le cas aujourd'hui, il n'y a pas assez d'énergie dans le vide quantique pour que toutes les particules aient suffisamment d'énergie pour exister, et donc certaines sont là de façon latente, elles sont comme "fatiguées", et on ne peut les rendre vivaces qu'en leur donnant l'énergie qui leur manque. C'est ce que l'on fait dans les collisions de particules (comme au LHC, le collisionneur de particules du CERN, NDLR) : on transfert l'énergie des particules qui entrent en collision, au vide quantique. Les particules qui étaient là de façon léthargique avalent l'énergie qu'on leur communique, deviennent réelles et s'échappent du vide. C'est cela qu'on détecte dans nos instruments.

Sur le rapport au temps dans l'univers, on lit dans votre ouvrage qu'à certaines échelles, le temps n'existe plus : difficile à appréhender quand même… Etienne Klein : Je n'ai pas dit exactement ça : j'ai dit qu'il y a des gens qui travaillent avec l'idée que l'espace-temps est une construction qui n'apparaît qu'à certaines échelles. C'est-à-dire que l'espace-temps lisse et continu que nous utilisons dans nos équations serait une sorte d'émanation, d'émergence qui n'apparaîtrait qu'au dessus d'une certaine échelle spatiale. Si l'on pouvait regarder l'univers à des échelles beaucoup plus petites, à l'échelle de Planck, peut-être qu'on verrait un espace-temps qui serait discontinu, voire complètement différent et qui ne s'appuierait pas sur notre idée traditionnelle de temps et d'espace. C'est peut-être le prix à payer pour devenir capable de comprendre ce qu'il s'est passé avant le mur de Planck. Il faut peut-être détruire notre conception actuelle de l'espace et du temps. Ce qui ne veut pas dire que le temps n'existe pas, mais ce qui veut dire qu'il doit peut-être être caractérisé par d'autres attributs que ceux qu'on lui attribue aujourd'hui.

Sur l'univers qui serait peut-être un univers qui se serait rétracté et serait ensuite passé dans une phase d'expansion, celle que nous observons aujourd'hui : cette théorie est-elle la plus plausible ?

Etienne Klein : Aujourd'hui, savoir ce qu'il y avait avant le Big Bang est une question de physique, plus une question métaphysique. Le Big Bang n'est plus une singularité, mais une transition. Un moment particulier, d'un univers d'avant à un univers d'après. De quoi était fait cet univers d'avant, on n'en sait pas grand chose, parce que les modèles ne sont pas capables d'extrapoler très au delà de cette transition. Mais même si on ne peut pas aborder tous les points techniques parce que c'est un peu compliqué pour le grand public, je suis un peu agacé qu'aujourd'hui on en reste à une conception du Big Bang qui date des années 50. Les religieux continuent de dire qu'ils sont compétents pour expliquer ce qui a déclenché cette explosion, des scientifiques continuent à laisser entendre qu’ils saisiront bientôt la singularité initiale alors qu'elle a disparu dans les équations. Mon message est tout bête, et je ne crois pas qu'un astrophysicien me démentira : nous n'avons pas la preuve scientifique que l'univers a une origine, et nous n'avons pas la preuve qu'il n'y a pas d'origine. Cessons de prendre le fait que l'univers aurait eu une origine comme une vérité indiscutable.

 

 

Il y a de nombreuses théories actuellement sur le fonctionnement de l'univers ? Etienne Klein : Il y a autant de cosmologies qu'il y a de cosmologistes : si l'on prend la cosmologie des branes (une sorte d'objet "contenant" un univers, en théorie des cordes, NDLR), on serait sur une brane à quatre dimensions qui se déplacerait dans un espace-temps beaucoup plus vaste. Mais il y a d'autres branes qui circulent dans cet espace-temps, et de temps en temps il y a des collisions entre deux branes, et vu d'une brane particulière, ça donne ce qu'on appelle un Big Bang. Donc là encore, il n'y a plus d'origine de l'univers. Il y a donc cette sorte d'ouverture incroyable de possibilités qui s'offre à la cosmologie. Je ne sais pas si on aura un jour les moyens de les discriminer, c'est-à-dire de voir quelle est la bonne qui s'impose à nous, mais cessons de considérer qu'avant il n'y avait rien, puis qu'il y a quelque chose qui a déclenchée une singularité : cette image naïve est démontée par la science. Mais cette image d'un commencement est plus facile à appréhender, elle simplifie les choses. Les religions s'en servent aussi, c'est pratique cette origine à partir du néant, non ? Etienne Klein : Oui, mais si c'étaient les Chinois qui avaient découvert les équations du Big Bang basées uniquement sur la théorie de la relativité générale, je suis certain qu'ils n'auraient pas dit "c'est un Big Bang correspondant à l'origine de l'univers". En Occident il y a eu cet amalgame entre un fait scientifique et un fait de culture qui a mené à une origine de l'univers, mais rien ne l'imposait en soi. Au milieu de toutes ces équations incroyables, cette physique quantique perturbante pour l'esprit commun, ces nouvelles possibilités d'explications de l'univers, qu'est ce que l'homme représente dans tout ça à votre sens ? Une simple variable dans cette grande équation cosmique ? Etienne Klein : Je ne sais pas…la physique est devenue puissante parce qu'elle a limité ses ambitions. Le physicien ne s'occupe pas de l'humain, il s'occupe des lois physiques. Il a simplifié le monde pour pouvoir le décrire. Et ce monde simplifié ne contient pas la vie, on constate juste que la vie est là. Quel est son statut ? Est-ce que les lois physiques engendrent les lois biologiques ou est-ce que les lois biologiques ont une autonomie par rapport aux lois physiques et existent indépendamment des lois physiques ? Personne n'en sait rien. Tout ce que l'on peut dire de façon sûre c'est que l'homme n'a pas toujours été présent dans l'univers, nous sommes là depuis deux millions d'années et l'univers à 13,7 milliards d'années. Ce qui signifie que l'univers a passé le plus clair de son temps sans l'homme. Pour finir, on est comme pris de vertige en vous lisant, par la complexité mais aussi par la compréhension humaine qui malgré tout parvient à se faire sur ces sujets de la matière, de l'énergie, de l'univers… : l'entendement humain est illimité ? Etienne Klein : L'homme évolue, et trouve des réponses. Pas avec son seul esprit, et je pense qu'il y a un "en dehors" de l'esprit humain. Ce n'est pas l'esprit qui trouve tout seul : l'esprit peut se tromper, être pétri de préjugés, être pris dans l'illusion. Cet "en dehors", c'est ce qu'on appelle le réel. Les physiciens tente de comprendre le réel. Et ils comprennent des choses qui font un retour sur l'esprit. Quand on a compris des choses, cela peut modifier notre façon de "penser notre pensée". Je ne sais pas quelles sont les limites de l'entendement humain, je ne sais pas si nous pourrons tout comprendre mais il faut apprécier ce dont on est capable. Et l'esprit humain a été capable, avec l'aide des expériences, de prédire de nouvelles sortes d'objets physiques, par exemple. Le Boson de Higgs, découvert au mois de juillet dernier, a été prédit il y a 48 ans…

A suivre…

 

 

Étonnant ! N’est-ce pas !

Le surprenant, c’est le pourcentage de matière noire et d’énergie noire qui refusent de se laisser découvrir. Seuls 3 à 4% de l’univers nous sont connaissable. Tout le reste nous est inconnu. On ne la voie pas, tout en sachant qu’elle est là.

Un parallèle c’est fait jour après avoir lu cet article. Le mystique qui parvient à la lumière, au Samadhi, à l’illumination, il n’y a que lui qui la voie, il n’y a que lui qui l’active, qui la vit. Cependant, elle a toujours été là daignant l’ensemble du cosmos. La question que je me pose, est : est-ce que cette matière noire, cette énergie noire ne serait-ce pas la lumière des mystiques de tous les temps ?

 

 

Si on photographie le cosmos avec le procédé de Semyon Kirlian que va-t-on voir ?

L'effet Kirlian est le résultat photographique de la manifestation physique d'ondes à hautes fréquences, irradiées par le vivant. Ces ondes peuvent être perçues grâce à un procédé photographique qui consiste à convertir des propriétés non électriques d'un objet en propriétés électriques, à l'aide d'un champ électrique à haute tension, avec un transfert direct des charges de l'objet sur l'émulsion photographique. On nomme ce procédé l'électrographie. Ces ondes furent mises en évidence la première fois par Nikola Tesla, en 1893, lors de la foire mondiale de Chicago où il apparut en public entouré d'un halo de lumière grâce à un procédé utilisant une bobine électrique qui porte toujours son nom. Ce n'est qu'en 1939 que des preuves photographiques ont pu être apportées par Semyon Kirlian, un jeune chercheur soviétique, et dans les années soixante que le lien fut fait entre ces émanations et la santé, le psychisme ou la personnalité profonde d'un individu. Des diagnostics préventifs furent même réalisés par des médecins soviétiques.

Les émanations Kirlian ont aussi permis de constater que les corps vivants émettent des rayonnements qui correspondent non seulement aux parties " visibles " de ces corps mais également à des parties devenues " invisibles " comme des membres ou des morceaux amputés. Cette constatation est à rapprocher des affirmations d'un grand nombre d'amputés qui prétendent continuer à " souffrir " ou à " sentir " un membre depuis longtemps disparu.

 

Si on photographie le cosmos avec le procédé de Kirlian que va-t-on voir ? Hélas, tant que l’on ne l’aura pas entrepris, on ne peut le savoir. Des surprisses certainement, mais de quelles sortes, nul ne le sais.

 

 

 

Voyons le problème de l’illumination mystique, qui après 35 années passées à la comprendre pour l’intégrer à l’existence de nous même, je suis arrivé, après moult recherches à certaines conclusions.

 

Cette expérience (j’avais alors la trentaine) m’est survenue après 5 années d’intense yoga. C’est le fameux, sa passe où sa casse, et c’est passé.

 

L’illumination, que j’intitulerai, « la porte du bien être pour tout ce qui est ».

 

Il se peut que vous lecteur, l’ayez déjà expérimenté au sein de votre corps, mais vous ne lui avez pas accordé d’importance, préoccupé par la sauvegarde de votre ego civilisationnel. Un signe reconnaissable pour déceler une illumination, est une chute brutale, soudaine, sans souvenance d’incidence, et sans blessure. Si une telle expérience vous est déjà arrivée, vous avez reçu l’illumination. À vous de vous rappeler la lumière qui vous a daigné dans ce laps de temps. Si notre culture nous enseignait le yoga dés le plus jeune âge, une telle expérience ne pourrait passée inaperçu par la conscience humaine. Mais là c’est un autre registre.

 

 

Essayons de décrire cette expérience telle que je l’ai vécu, telle que tout être humain peut la ressentir si la lumière l’étreint.

 

Quand la lumière vous sein, Le temps, la durée, une minute de nos pendules vaux 1000 …où 10 000 ans, c’est incommensurable, c’est l’endroit ou le temps n’existe plus, il est instant perpétuel.

 

La localisation de soi dans cette espace. Là, il y a un sérieux problème, ni haut, ni bas, pas de nord, ni d’est, ni de sud, ni d’ouest. Vous êtes le centre. Il faut vous penser nimbé d’yeux tout autour de la tête, le centre rayonnant dans toutes les directions,… sublime.

 

La chaleur : Ni froid, ni chaud, la température est parfaite, tout comme vous l’êtes. Là je ferai référence aux Maîtres qui disent pour la décrire, celle qui me semble la plus crédible : --Chez moi, je suis chez moi. L’endroit ou tout est parfait ou la peur n’existe plus, aucun sentiment d’angoisse, vous ne ressentez qu’une béatitude constante, vous êtes dans le bien être le plus total, perpétuellement.

L’odeur : vous baignez dans un océan de parfum sublime sans que vous puissiez en définir la provenance. Pour faire court, vous êtes heureux, comme jamais vous l’avez été. Vous êtes ce que vous avez toujours cherché.

 

Vous proches dis parus, sont dans le même état que vous l’êtes, des êtres de lumières, qui éprouvent le même bien être perpétuellement, de cela vous en êtes persuadé, et eux aussi. Vous les savez dans la même vibration d’amour parfait. Vous n’éprouvez pas de besoin nostalgique. Vous les savez semblables à vous et eux à vous. Vous n’éprouvez pas le besoin de les invoquer, vous les savez identiques dans la lumière, identique dans la béatitude qui vous ravit. Vous êtes lumière dans un univers de lumière. Vous êtes sans âge, comme vos proches disparus, de cela vous en êtes persuadé, vous les savez baignant dans la même vibration que vous. Que dire d’autre, si ce n’est que tout être bon ou moins bon sur la planète terre a la même finalité soit : renouer en pleine conscience avec l’origine, la lumière, qui ne vous a jamais quitté. Je rajouterai un point intéressant à prendre en compte, dans cet endroit, l’être n’est plus sexué, le Moi est dissout au profit du Soi identique à tous. Je comprends qu’il va y avoir des grincements de dents de tous les humains à ego démesuré voir schizophrène, croyant être unique , sortant tout droit de la cuisse de Jupiter, quand ne se prenant pas pour Zeus en personne…

 

Là encore je ferai un emprunt à la sagesse bouddhiste, ou plus exactement a sa statuaire avec la représentation du bouddha rieur qui lors des doléances de ses fidèles rigole, rigole a m’en plus finir. La symbolique de cette statuette est totale, elle exprime bien la différence entre l’esprit humain, dominé et dominant et l’esprit de la lumière éternelle, une et entière.

 

Nous allons faire un petit détour vers les Tibétains pour expliciter le fait que notre soi est bien identique à l’autre quel qu’il soi. Je ferai référence à leur mythologie concernant la "corde Mu" qui part du sommet du crâne des premiers rois et qui les reliaient au ciel.

 

Lors de mes expériences yogiques, cette "corde" s’est concrétisée en moi pendant trois jours sans discontinuité, ce qui m’a permis de valider la véracité de cette "corde mu" et d’affirmer que nous sommes tous relier au ciel. Ou que nous soyons, cette "corde" faite d’énergie est constamment présente en nous, même si on ne la sent pas. Pour la sentir et s’apercevoir qu’elle existe, le yoga reste le seul moyen que je connaisse. Mais qu’importe que vous ne la voyiez pas, il suffit de savoir qu’elle existe, pour l’intégrer dans nos réflexions sur le fait de notre présence sur cette planète. Donc, on a vu que nous sommes tous reliés par ce lien invisible au ciel sans que nous puissions nous en défaire, on ne peut pas s’échapper de l’univers, quoiqu’on en pense.

 

–l’image qui me vient, c’est celle des autos tamponneuses qui prend son énergie sur des grilles chargées d’électricité pour fonctionner. Il vous faut imaginer cette "corde" s’élever de votre crâne et partir dans l’espace infini.

 

Ainsi, la mort, la disparition de nous même ne peut avoir lieu, notre être, le Soi repart le long de cette "corde" énergétique jusqu'à une destination inconnue. Inconnue certes, mais très réelle. On continu l’existence en toute quiétude en pleine lumière dans une autre portion d’univers, et cela éternellement puisque nous sommes tous reliés à la source de tous les événements.

 

La réincarnation, le fameux karma, je n’y crois pas. Celui-ci est basé sur le mérite ou le non-mérite, et puis l’univers est tellement vaste, qu’il est peu probable que l’on réapparaisse au même endroit et surtout pourquoi le serait-se, je n’en voie pas la raison, partout est la lumière. Ce sont des données bien trop humaines – limitées par nos sens- pour parvenir à une compréhension du grand Pourquoi ? Le Karma coïncide avec les tables de la loi de Moïse. Mises en place pour donner un sens à cette existence à tout pris. C’est le même principe. Cela part d’un bon sentiment, mais se sont des idées fausses qu’il faut appréhender comme des principes moraux, existentiels, civilisationnels créés par l’humain pour l’humain. Certainement pas par un dieu quelconque en but d’un mérite totalement hypothétique, auquel je ne peux adhérer.

 

Depuis que nombre de Bodhisattvas sillonnent la planète, on ne peut pas dire que cela a changé grand-chose à notre histoire. L’espoir, le rêve, des règles de conduites à vivre pour plein d’Âmes simples qui ne demandent qu’une seule chose, exister, peut les aider à le faire. Cela reste somme toute que des règles de vies éditées par l’humain pour l’humain. C’est sans conséquence pour nos recherches axées sur ce que nous sommes en soi, en essence.

 

Si on veut exister sur cette planète sans trop de problèmes en étant en recherche de soi, il convient de se rapprocher au plus près de la vibration émise par l’univers. Tout dans l’univers respire la vibration d’amour. Ce ne sont qu’échanges, transformations, transmutations sans cesse de matières. Tout fusionnent à l’unisson pour que notre ciel puisse exister et nous le voir, l’admirer. Les fleurs plus belles les unes que les autres et parfois, leur parfum qui nous enivre. Les couleurs souvent sublimes de cette manifestation nous porte à la contemplation en nous plongeant dans une béatitude des plus exquise, nous laissant sans voie devant pareille merveille. Tout est beau, tout est pur, tout est parfait, il reste cependant une variable, l’humain.

 

Je terminerai par une note pleine d’espoir, avec une de mes réflexions interrogatives

Intitulée :

 

« De l’Amour.. »

-L’Amour serait-ce l’informe qui s’est fait chair pour étreindre la forme ?

 

 

Une autre hypothèse de science fiction :g>

Il ressort de cette histoire que l’on ne saurait être Dieu présentement, peut être serons nous un jour, des auxiliaires> expansionnistes de l’univers . L’idée est séduisante .Cela voudrait dire que nous aurions encore des milliards et des milliards d’années à exister. Merci éternité.

Mais pour l’instant, on dira que nous sommes que des fragments de vie aux bons vouloir de notre culture en bien, en mal. Reste cette donnée qui nous échappe encore, le grand Pourquoi ?...Le saura t’on un jour ?...

 

*>L’épisode dinosaurien sur cette planète pourrait bien être la cause d’un démiurge débutant entrain de se faire la main.

 

On part de l’hypothèse que le Créateur est une Créatrice,

qui devrait avoir ces qualités ci-dessous pour pouvoir être définie

comme un Dieu d’Amour.

 

S’il y a un Créateur.

Il n’exigerait pas

De sa création

sa soumission !

 

S’il y a un Créateur.

Il n’aura pas besoin

de sa propre louange !

 

S’il y a un Créateur.

Aucun livre ne pourrait

le contenir !

 

S’il y a un Créateur.

Tout endroit cosmique

lui serait sacré.

Pas une seule particule,

Pas un seul atome

qui ne le soit !

 

S’il y a un Créateur.

Rien ne saurait

 Lui  être retranché

Aucune stabilité, aucun arrêt

Dans son flux perpétuel

ne saurait être toléré !

 

S’il y a un Créateur.

le hasard serait la liberté

dans le présent constant !

 

S’il y a un Créateur.

il serai tout

et partout !

 

                                  

Je ne sais pas pour vous,

Mais en ce qui me concerne, un tel Dieu

J’adhère de suite.

 

 

 

 

Si vous êtes arrivé jusque là cher lecteur, c’est que vous avez déjà commencé à changer.

 

 

Je vous quitte là, je retourne à ma peinture, qui me permet de mettre en forme ces réflexions. Peintures que j’ai intitulées :

« Création de la matière au travers la lumière »

 

Maître SOULAGES pour sa création

est parti du noir, du néant,

du Big Bang

 

(Lequel Big Bang est toujours sous de controverses hypothèses)

 

-Le surprenant dans cet univers, c’est le pourcentage de matière noire et d’énergie noire qui refusent de se laisser découvrir. Seuls 3 à 4% de l’univers nous sont connaissable. Tout le reste nous est inconnu. On ne la voie pas, tout en sachant qu’elle est là-. Etienne Klein

Un parallèle c’est fait jour après avoir lu l’article d'Etienne Klein "Discours sur l'origine de l'univers" Le mystique qui parvient à la lumière, au Samadhi, à l’illumination, il n’y a que lui qui la voie, il n’y a que lui qui l’active, qui la vit. Cependant, elle a toujours été là daignant l’ensemble du cosmos.

 

Donc, à l’inverse de Maître Soulages,

Pourquoi, me suis-je dis, ces concrétions de matières

ne surgiraient pas… directement de la Lumière, soit du blanc.

 

Partant de cette réflexion, j’ai le plaisir de vous présenter

Mes derniers travaux intitulés :

« Création de la matière au travers la lumière

 

A suivre…

 

Courriel : ulvumior@gmail.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 juillet 2014 7 06 /07 /juillet /2014 13:09

Peinture à l'huile sur toile. 60 x 60 cm . Derniers travanx de Meldred

Ballade à l'intérieur de la lumière
Ballade à l'intérieur de la lumière
Ballade à l'intérieur de la lumière
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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 08:45

« Éclats de matières au travers de la lumière »

-Circonstanciel-

Maître SOULAGES pour sa création

est parti du noir, du néant,

du Big Bang

(Lequel Big Bang est toujours sous de controverses hypothèses)

Le surprenant dans cet univers, c’est le pourcentage de matière noire et d’énergie noire qui refusent de se laisser découvrir. Seuls 3 à 4% de l’univers nous sont connaissable. Tout le reste nous est inconnu. On ne la voie pas, tout en sachant qu’elle est là.

Un parallèle c’est fait jour après avoir lu l’article d'Etienne Klein "Discours sur l'origine de l'univers" Le mystique qui parvient à la lumière, au Samadhi, à l’illumination, il n’y a que lui qui la voie, il n’y a que lui qui l’active, qui la vit. Cependant, elle a toujours été là daignant l’ensemble du cosmos.

Donc ,à l’inverse de Maître Soulages,

Pourquoi, me suis-je dis, ces concrétions de matières

ne surgiraient pas… directement de la Lumière, soit du blanc.

Partant de cette réflexion, j’ai le plaisir de vous présenter

Mes derniers travaux intitulés :

« Eclats de matières au travers de la lumière »

Peintures à l'huile avec pigments pur sur toile.
Peintures à l'huile avec pigments pur sur toile.
Peintures à l'huile avec pigments pur sur toile.

Peintures à l'huile avec pigments pur sur toile.

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 15:19

                                                                              materia-gaia-1.jpg                                                                                          Materia Prima où Gaïa

                                                                     Peinture à l'huile sur toile marouflé sur bois. 68 cm x 61

 

 

 

                                     Pour tout renseignement: Email: ulvumior@gmail.com

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 15:07

eus-P.O.jpg

                        

                           Le village d'Eus , dernière toile de meldred  120 cm x 90 cm .

                          Cette oeuvre va se déclimer en sériegraphie d'imprimerie sur toile  en série limité, numéroté est signé.

                          X.  tirages au bon vouloir de l'artiste.

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